Alain Sorbadère est parti

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37 ans maire de Lahitte, 21 conseil général du Gers. La gentillesse c’est le mot fort qui le caractérise, mais j’en dirai plus après.

Philippe Martin rend hommage à son camarade et ami, Alain Sorbadère

" Le Département du Gers rend hommage à l’ancien Conseiller Départemental, Alain Sorbadère, élu à l’assemblée départementale, sur le canton Auch Nord Est, de 1988 à 1992 et de 1998 à 2015. Alain Sorbadère était également Président de l’Office de l’Habitat du Gers jusqu’en 2015 et Maire de Lahitte durant 37 ans.

« Il aimait le Gers, son village de Lahitte, la boxe, le rugby, la justice sociale et son café au Massena. Et nous, nous l’aimions. La disparition d’Alain Sorbadère est douloureuse pour sa famille, à qui je présente mes condoléances attristées, et cruelle pour ses amis et camarades. Au nom du Département du Gers, je rends hommage au militant, à l’élu et à l’ami."

Salut l'ami par JP Espiau

Je connaissais Alain depuis le siècle dernier. Comme je l’ai dit plus haut, Alain c’était la gentillesse même, un vrai régal de converser avec lui. Avec notre reconquête du conseil général nous avons souvent travailler ensemble, lui en tant que conseiller général chargé des sports et moi en tant que maire adjoint chargé de sports à la ville d’Auch. Il ne manquait pas une semaine où on se retrouvait sur un terrain des sports (la tribune du FCAG entre autres), une assemblée générale, une remise de récompenses, que d’heures passées ensemble. Nous avions en commun la passion du sport et notre militantisme socialiste.

Je ferai miens les propos d’Annie Mauco (là aussi quelle famille de militants extraordinaires) : « Alain, tout comme Robert Perrussan il y a peu, appartenait à ces hommes qui avaient un idéal de justice qu'il mettait beaucoup de force et de temps à défendre. »

Robert Perrussan justement

Je n’ai pu en son temps rendre hommage (j’étais hors département) à Robert lui aussi un sommet de gentillesse et de fidélité, et je profite de cette triste occasion pour réparer ce contre-temps. Robert c’était comme Alain un compagnon de toujours, des hommes d’une autre époque : affables, fidèles, le cœur sur la main, conviviaux, empathiques remplis d’un idéal humaniste. Je profite de ce petit message pour faire part de toute mon amitié à Marjolaine, courage.

Robert, Alain vous allez nous manquer, vous nous manquez déjà.

Philippe tu perds tes grognards !

Après Jean-Pierre Pujol, après Robert, c’est Alain.  Tes conseillers de la première heure, s’en vont, hélas. Après Robert Barguisseau, René Manciet, c’est Gerard Malhomme et Jacques Maxch , tes aides de camp socialiste, qui sont aussi partis. Quelle tristesse !

 

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